Conseils

Prendre soin des plantes, prendre soin de soi

Avoir recours à la nature donnera toujours des résultats positifs lorsqu’il s’agit d’alléger l’anxiété et le stress. Ainsi le confinement a provoqué beaucoup d’intérêt pour le jardinage puisque c’est une activité bénéfique pour la santé.

Que ce soit de vastes jardins ou de petits espaces comme un appartement, il y aura toujours un endroit adéquat. Les plantes par le jardinage sont une façon de supporter et de vivre à travers le confinement.

Si soigner et promouvoir la plantation est une requête fondamentale pour affronter les changements climatiques, l’importance devrait être la même dans nos foyers. Être témoin de la croissance, comprendre les besoins des plantes et les incorporer dans notre vie est nécessaire. Ces actions nous donneront des sentiments de satisfaction qui en ces temps difficiles nous rempliront de vie.

Nous parlons de bénéfices tel qu’alléger et soulager la fatigue mentale.Le jardinage est perçu comme une instance qui facilite la socialisation.Passer du temps en famille ou entre amis est une activité qui permet d’échanger, de s’alimenter les uns et les autres, de partager nos sentiments par rapport à tout ce que nous vivons en ce moment avec la pandémie. Un progrès sera perçu à court ou long terme comme une satisfaction personnelle.

Avoir une ambiance appropriée est nécessaire pour nos activités quotidiennes. L’utilisation de plantes dans nos bureaux et espaces de travail affecte positivement notre disposition pour affronter nos différentes tâches.Elles deviennent des objets décoratifs qui participent à générer une sensation d’harmonie à travers cette période d’enfermement et de quotidienneté accru.

Prendre soin de nos plantes est une activité d’auto-guérison, un temps pour se détacher de cette pandémie, une aide pour canaliser l’anxiété. Ces espaces sont donc nécessaires pour profiter individuellement et collectivement de ces bénéfices

Plantons et améliorons notre environnement pour qu’il soit plus vivant que jamais 

                                                                                                                                         « Michel Corbeil »